Bibliographie subjective
Bibliographie subjective (parce que l’on parle mieux de ce que l’on aime…)
- Roland Barthes, Le Degré zéro de l’écriture, Essais Points
Un chapitre “Proust et les noms” offre une magnifique étude onomastique science des noms propres : “Comme signe, le Nom propre s’offre à une exploration, à un déchiffrement : il est à la fois un milieu, (au sens biologique du terme), dans lequel il faut se plonger, baignant indéfiniment dans toutes les rêveries qu’il porte.”
- Roland Barthes, Le Bruissement de la langue, Essais Points
Selon la même perspectives que les auteurs du Nouveau Roman, l’auteur stipule la mort de l’auteur : “L’explication de l’oeuvre est toujours cherchée du côté de celui qui l’a produite, comme si, à travers l’allégorie plus ou moins transparente de la fiction, c’est toujours finalement la voix d’une seule et même personne, l’auteur, qui livrait sa «confidence». “
- Barthes, Leçon, Points
Roland Barthes, dans son discours inaugural de la chaire de sémiologie au Collège de France définit les objectifs de la sémiologie, théorie de la langue qu’il a formulée : “Il m’a semblé ( (alentour 1954) qu’une science des signes pouvait activer la critique sociale, et que Sartre, Brecht et Saussure pouvaient se rejoindre dans ce projet; il s’agissait en somme de comprendre comme une société produit des stéréotypes, c’est-à-dire des combles d’artifice, qu’elle consomme ensuite comme des sens innés, c’est-à-dire des combles de nature.”
- Pierre Bayard, Le Plagiat par anticipation, Les Éditions de Minuit
Thèse fascinante qui montre que les écrivains ne plagient pas seulement les prédécesseurs mais s’inspirent aussi de leurs épigones du passé. Prenant l’exemple du Zadig de Voltaire qui inaugure les stratégies déductives des romans de Conan Doyle, il revisite certains romans sous l’égide de l’écriture passé : “Il suffit pourtant de parcourir l’histoire de la littérature pour voir que ne manquent pas les emprunts faits par les écrivains à leurs confrères du futur. Certaines similitudes étranges entre des textes séparés par des années ou des siècles ne peuvent en effet s’expliquer par le seul hasard ou les formes classiques du plagiat. Il est clair que c’est dans l’autre sens que s’est alors effectué l’emprunt.”
- Pierre Bayard, Comment parler des livres que l’on n’a pas lus?, Les Éditions de Minuit
Quel plaisir de voir théoriser cette situation que chaque lecteur a connu et de lire l’énoncé de vérités quelquefois difficiles à dire : “ Dans le milieu des spécialistes, en raison de la triple contrainte [ndlr : de lire, de tout lire, de n’avoir un discours que sur ce que l’on a lu], le mensonge est général, puisqu’il est à la mesure de l’importance qu’y occupe le livre.”
- Roland Bourneuf et Réal Ouellet, L’Univers du roman, Puf Littératures modernes
Dans une langue facile d’accès, les deux auteurs dressent une typologie de différents éléments du roman : les personnages, l’espace, le temps pour révéler des constants de la littérature : :”Peut-être le roman permet il de mieux rejoindre la vérité et de fait la connaître en profondeur, mais pour le premier lecteur venu le roman est d’abord une histoire complexe et invraisemblable, des rencontres miraculeuses, des héros trop parfaits, des héroïnes trop belles pour être vraies.”
- Pierre Bénichou, Morales du Grand siècle, Folio Essais
Le grand théâtre classique, corneille, Racine et Molière sont invoqués entre autre par le prisme de l’écriture muselée par la censure et le couperet critique de la monarchie absolue : “Louis XIV soutint obstinément l’auteur de l’Ecole des Femmes, du Don Juan et de <tartuffe contre ses ennemis dévots. Et pas seulement pour des questions accidentelles, parce que lés dévots mécontentaient le jeune roi ou censuraient ses amours, mais parce que, plus profondément, la monarchie, surtout dans ses périodes de bonheur, était solidaire d’un certain épanouissement de la vie, au moins dans les hautes classes.”
- Antoine Compagnon, Le Démon de la théorie, Points Essais
Panorama complet des théories critiques qui réduisent la littérature à des présupposés à force de les soumettre à leurs concepts. Antoine Compagnon, membre de l’Académie française, aborde de nombreux points métacritiques : “Tout ce qu'on peut dire d'un texte littéraire n'appartient donc pas à l'étude littéraire. Le contact pertinent pour l'étude littéraire d'un texte littéraire, ce n'est pas le contexte d'origine de ce texte, mais la société qui en fait un usage littéraire en le séparant de son contexte d'origine. Ainsi la critique biographique ou sociologique, ou celle qui explique l'œuvre par la tradition littéraire (Sainte-Beuve, Taine, Brunetière), toutes variantes de la critique historique, peuvent être tenues pour extérieur à la littérature.”
- Antoine Compagnon, Les antimodernes de Joseph de Maistre à Roland Barthes, Folio Essais
L'auteur montre bien comment le syndrome réactionnaire active de nombreux schèmes pour orienter la critique littéraire. L’attitude suscite des biais critiques, souvent au service de leur idéologie et vient alimenter des courants historiques :”Contre révolution, anti-Lumières, pessimisme, péché originel, sublime, vitupération : nous passerons en revue ces 6 figures de l'antimoderne, en les déchiffrant avant tout chez de Maistre, Chateaubriand et Baudelaire, ou chez Proust, sans exclure d'autres modèles ou anti-modèles complémentaires.”
- Umberto Eco, Lector in Fabula, Le livre de poche-biblio Essais
L'auteur du Nom de la rose est aussi un essayiste critique de premier plan. Dans cet ouvrage, il théorise l'existence d'un lecteur modèle, capable de comprendre le texte , de l'interpréter à la juste conscience de ce que l'écrivain a voulu y mettre, en établissant une coopération textuelle sous forme de dialogue : “C'est plutôt le ressort d'une phase successive de l'approche textuelle ou, après avoir actualisé sémantiquement le texte, on poursuit en l'évaluant, en le critiquant. Cette critique peut se fixer plusieurs buts : l'évaluation du succès esthétique (quel que soit la définition que le que l'on donne de cet effet), l'évaluation des relations entre idéologie, solution stylistique de l'auteur et situation économique, la recherche de structures inconsciente (qu'il ne constitue pas pour autant le contenu voulu par l'auteur)”
- Gérard Genette, Fiction et diction, Points Essais
Gérard Genette explore les problématiques de narration à partir de la partition développée par Aristote dans sa poétique et les difficultés à entériner les formes génériques apparues depuis quand on veut les envisager selon les préceptes aristotéliciens : “L'essentiel en est l'illustration rétrospective par lesquelles les poétiques modernes, romantique préromantique et post-romantique, projettent aveuglément sur Aristote, ou Platon, leurs propres contribution, et enfouissent ainsi leur propre modernité.”
- Gérard Genette, Figures I, Points Essais
Tout un chapitre de cet ouvrage est consacré à la métacritique à travers les apports du structuralisme de Claude Lévi-Strauss qui, en se basant sur les principes de la linguistique structurale, Lévi-Strauss a développé une méthode d’analyse des sociétés humaines qui met l’accent sur les structures sous-jacentes aux comportements, mythes, et institution. Gérard Genette met en avant les conceptions critiques du mouvement : “Plus spécialement la critique littéraire, qui se distingue formellement des autres espèces de critique par le fait qu'elle utilise le même matériel (l'écriture) que les œuvres dont elle s'occupe : la critique d'art ou la critique musicale ne s'exprime évidemment pas en son ou en couleur, mais la critique littéraire elle parle la langue de son objet : elle est métalangage, «discours sur un discours» : d elle peut donc être méta-littérature c'est-à-dire «une littérature dont la fonction elle-même est l'objet imposé».”
- Gérard Genette, Figures II, Points Essais
La rhétorique classique appuie son argumentation sur des dogmes établis : L'ethos concerne la crédibilité et l'autorité de l'orateur; Le pathos fait appel aux émotions du public. Le logos est l'argumentation rationnelle. Gérard Genette revient sur le souci de vraisemblance qui a soutenu tout le discours critique jusqu’au début du XIXe siècle, pour en montrer les limites : ”Ce qui subsiste, et qui définit le vraisemblable, c'est le principe formel de respect de la norme, c'est-à-dire l'existence d'un rapport d'implication entre la conduite particulière attribuée à tel personnage, et telle maxime générale implicite et reçue. Ce rapport d'implication fonctionne aussi comme un principe d'explication : le général détermine est donc explique le particulier, comprendre la conduite d'un personnage (par exemple), c'est pouvoir la référer à une maxime admise, et cette référence est reçue comme une remontée de l'effet à la cause.”
- Gérard Genette, Palimpsestes, Points Essais
Littéralement, il s'agit d'un manuscrit ancien, généralement en parchemin, sur lequel le texte original a été effacé ou gratté pour faire place à un nouveau texte, tout en laissant des traces du texte initial. Cette pratique était courante à une époque où les matériaux pour écrire étaient rares et coûteux, notamment dans l'Antiquité et le Moyen Âge. Dans un sens métaphorique, utilisé en critique littéraire, le terme "palimpseste" désigne une œuvre ou un texte qui contient des traces, des échos ou des réminiscences d'œuvres ou de textes antérieurs. Cette notion implique que chaque création artistique ou littéraire est, d'une certaine manière, une réécriture, une adaptation ou une transformation d'œuvres précédentes. Le palimpseste, au sens figuré, souligne l'intertextualité, c'est-à-dire la manière dont les textes dialoguent entre eux à travers les âges. Ainsi, le concept de palimpseste peut être un outil d'analyse pertinent pour explorer les strates de signification dans un texte littéraire, révélant comment celui-ci se construit en interaction avec d'autres textes et contextes historiques. “Cette duplicité d'objet, dans l'ordre des relations textuelles, peut se figurer par la vieille image du palimpseste , où l'on voit, sur le même parchemin, un texte superposé à un autre qu'il ne dissimule pas tout à fait, mais qu'il laisse voir par transparence. Pastiche et parodie, a-t-on dit justement, «désignent la littérature comme palimpseste» : ceci doit s'entendre plus généralement de tout hypertexte.”
- Henri Mitterand, Le Discours du roman, Puf Écriture
Le grand spécialiste de l'œuvre de Zola présente une nouvelle approche sociocritique dédiée à la littérature du XXe siècle, qui convoque Zola, évidemment, mais aussi Flaubert, Céline, Balzac. Si l’étude est largement centrée sur l’analyse des récits qui vient sous-tendre les visées idéologiques des auteurs, Henri Mitterand expose les limites de la critique qui ne doit jamais déborder le texte OK : “Il est commun de récuser l'idéologie critique de l'expression. Mais une chose est de croire en l'oeuvre reflet, tableau authentique - Balzac peintre de la restauration, Zola peintre de la classe ouvrière sous le Second Empire -, une autre et de s'interroger sur la façon dont une série verbale, textuelle, signifie les séries non verbales ( mécanisme économique, institution, code de relation) et en construit un modèle. une chose est de prendre un roman pour le reflet direct d'une situation où l'expression non médiatisée d'une idéologie et d'une politique, une autre est diffère apparaître des plans et des paliers d'élaboration et de concrétion du sens, des corrélations symptômes, indiciel, entre son univers de discours et la structure sociale qui de toute manière l'informe. j'entends bien qu'une critique tournée vers les philosophies contemporaines plutôt que vers les sciences humaines qui se prétendent exactes, tel que la linguistique, refuse cette hypothèse, et la tient pour la marque d'un positivisme naïf, lui-même symptomatique d'une conception critique aliénée par Aristote ou Jdanov.”
- Gilles Philippe, Sujet, verbe, complément - Le moment grammatical de la littérature française 1890-1940, NRF Éditions Gallimard
Les positions critiques s’incarnent, en France, dans l’examen critique de l’exactitude grammaticale des auteurs, et les canons adoptés ou refusés au nom de la vivacité de la langue. Les conflits renouvelés - la querelle sur le style de Flaubert, le débat sur le style indirect libre, le délaissement du passé simple si cher à Proust - montrent bien que les attitudes vont bien au delà d’une simple imposition grammaticale, lexical ou syntaxique. La société s’incarne dans la langue et les révolutions langagières bouleversent les forces sociales qui les ont vu naître en les soutenant ou en les récusant avec force, comme l’évoque Gilles Philippe à travers les réactions de Camille Mauclair, Ferdinand Brunot et Gustave Lanson, tous éminents critiques: “Alors que précisément il n'est rien d'anormal à parler grammaire et littérature à la fin des années 30, le déluge des termes grammaticaux auquel Proust soumet son lecteur de 1920 pouvait toujours être perçu comme une bizarrerie. Passe encore que l'on fasse l'éloge des «singularités immuables d'une syntaxe déformante», mais que l'analyse critique se réduise à une analyse grammaticale semble bien étrange à Camille Mauclair, malgré Brunot et Lanson.”
- Marcel Proust, Contre Sainte-Beuve, Folio Essais
Dans ce texte qui peut se lire comme un roman ou comme un essai, Marcel Proust réfute les théories de Sainte-Beuve qui tendent à rechercher dans la biographie de l’auteur l’origine du texte. Proust refuse d’isoler le texte et envisage, au contraire, l’ensemble des conditions sociales et historiques de son énonciation : “ Tout cela vient à l'appui de ce que je disais, l'homme qui vit dans un même corps avec tout grand génie à peu de rapport avec lui, que c'est lui que ses intimes connaissent, et quand il est absurde juger comme Sainte Beuve le poète par l'homme ou par le dire de ses amis. Quant à l'homme lui-même, il n'est qu'un homme, et peut parfaitement ignorer ce que veut le poète qui vit en lui.”
- Marcel Proust, Sur la lecture, Librio Littérature
Rêverie sur les jours heureux passés à lire, imprégnée de la nostalgie proustienne : “ Les classiques n'ont pas de meilleur commentateurs que les romantiques. Seuls, en effet, les romantiques savent lire les ouvrages classiques, parce qu'ils les lisent comme ils ont été écrits, romantiquement, parce que, pour bien lire un poète ou un prosateur, il faut être soi-même, non pas érudit, mais poète ou prosateur.”
- Georg Lukacs, La théorie du roman, TEL Gallimard
Cet ouvrage est une réflexion philosophique sur l'évolution du roman en tant que genre littéraire. Il s'inscrit dans la tradition de la philosophie allemande, en mettant en perspective les réflexions de Hegel et de Marx. Georg Lukác est souvent associé à Lucien Goldmann, sociologue marxiste de la littérature,. L'œuvre est aussi influencée par la crise spirituelle et culturelle qui précède la Première Guerre mondiale : “L'auteur de la Théorie du roman ne va pas si loin. Il cherche à établir une dialectique des genres fondée historiquement sur l'essence des catégories esthétiques, sur l'essence des formes littéraires, et où la liaison est plus interne que chez Hegel entre catégorie et histoire ; il cherche à concevoir par la pensée un élément fixe dans le changement, une mutation intérieure au sein d'une essence qui demeurait elle-même valide.”
- Tzvetan Todorov, Qu’est-ce que le structuralisme? Poétique, Points Essais
L’auteur évoque la question de la responsabilité critique dans les variations du jugement esthétique en exposant les théorisations historiques qui accompagnent les évolutions des caractérisations critiques : “Dès le XIXe siècle, des projets ont été formulés, pour une critique scientifique qui, ayant banni toute «interprétation, ne serait-ce que pure «description» des œuvres. De telles «descriptions définitives» à peine parues, le public s’empressait de les oublier, comme si elles ne différaient en rien de la critique antérieure ; et il ne s'y trompait pas. Les faits de signification, qui constituent l'objet de l'interprétation, ne se prêtent pas à la «description», si l'on veut attribuer à ce mot le sens d’absolu et d'objectivité. Ainsi en étude littéraire : ce qui se laisse «décrire» objectivement - le nombre de mots, ou des syllabes, ou des sons - ne permet pas de déduire le sens; et, réciproquement, là où le sens se décide, la mesure matérielle est de peu d'intérêt.”
- Nathalie Sarraute, L’ère du soupçon, Folio Essais
Nathalie Sarraute, qui participa du Nouveau roman, envisage les auteurs qui ont influencé sa vocation et son écriture : Kafka, James Joyce et Virginia Woolf. qu’elle estime les précurseurs de l’écriture blanche : transparence du personnage, dépassement des conventions : “Les critiques continuaient à juger les romans comme si rien n'avait bougé depuis Balzac. Feignaient-il d'ignorer ou avaient-ils oublié tous les changements profonds qui s'étaient produits dans cet art depuis le début du siècle ?”
- Jean Starobinski, L’Oeil vivant, TEL Gallimard
Jean Starobinski propose d’analyser Corneille, Racine, Rousseau sous l'angle de la critique herméneutique, approche qui vise à retracer le contexte historique de l’oeuvre, décoder les intentions de l’auteur puis analyser les sèmes explicatifs du texte. Starobinski cherche à comprendre comment la littérature peut être une forme d'expression du vivant, du dynamisme intérieur de l'individu, sous le rapport de communication entre l’auteur et le critique : “Le regard critique des chiffres les mots pour accéder à l'intuition de leur pleine signification : cette perception n'a plus rien d'un acte visuel, sinon par métaphore. Ainsi le regard critique se perd dans le sens qui s'éveille par lui : il n'aura fait courir le chemin, mais pour rendre possible le «pur délice sans chemin».”
- Jean-Paul Sartre, Qu’est-ce que la littérature? Folio Essais
Le rôle de la critique littéraire, dans les théories critiques issues du marxisme, consiste à dévoiler les structurations sociales et historiques qui imprègne une œuvre est produite et la conditionne. L'œuvre est donc essentiellement sociale, produite à partir d’un biotope contraignant auquel participe la critique : “La critique littéraire est une entreprise de démystification. Elle doit détruire le mythe de l'écrivain inspiré, de l'écrivain désincarné, de l'œuvre pure et parfaite. Il faut rendre aux œuvres leur contexte, leur histoire, leurs contradictions.”
- Tzvetan Todorov, Introduction à la littérature fantastique, Points Essai
Monographie thématique qui détermine les caractéristiques du genre, où l’hésitation du lecteur devant les phénomènes étranges, métamorphoses et convergence absolue des signes, désirs sexuels, sadisme et violence sont constitutifs. En s’appuyant sur les oeuvres de Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Tzvetan Todorov forme un panorama des indices génériques formant des classifications discriminatoires entre le fantastique, l’étrange et le merveilleux : “On accepte, en général, l'existence de deux points de vue, celui de la critique et celui de la poétique, lorsqu'il s'agit des aspects verbal ou syntaxique de l'oeuvre : l'organisation phonique ou rythmique, le choix des figures rhétoriques ou des procédés de composition, sont depuis longtemps l'objet d'une étude plus ou moins rigoureuse.”
Créez votre propre site internet avec Webador